Skip to main content

Il est essentiel de veiller à ce que les produits dangereux soient correctement classés, emballés, étiquetés et documentés avant le départ. On insiste beaucoup sur les responsabilités des expéditeurs et des transporteurs de marchandises dangereuses, surtout si l’on considère qu’ils constituent la première étape du voyage. Les transporteurs sont le deuxième point de contact pendant le trajet des marchandises dangereuses, et ils doivent vérifier le travail de l’expéditeur. Le dernier point de contact est le destinataire, dont le rôle est de s’assurer et de revérifier que tout a été fait dans le cycle de vie du transport des marchandises dangereuses. Dans le règlement, le destinataire a le moins de responsabilités, principalement parce que l’expéditeur et le transporteur auraient dû faire preuve de diligence raisonnable.

Voici quelques conseils à l’intention de tous ceux qui reçoivent des marchandises dangereuses afin d’assurer une conformité adéquate et de renforcer le niveau de vigilance dans le cycle de vie du transport des matières dangereuses :

  1. Vérifier l’état de l’emballage à l’arrivée. S’assurer que l’emballage est en bon état, sans fuites ni dommages importants. Ce produit peut rester sur les étagères pendant un certain temps, et si l’emballage a été endommagé de quelque manière que ce soit, cela peut entraîner des incidents catastrophiques liés aux marchandises dangereuses sur votre lieu de travail. La contamination des travailleurs, les incendies ou la contamination de l’environnement peuvent entraîner des coûts financiers importants.
  2. Vérifier si l’étiquetage est approprié. S’assurer que le bon étiquetage a été apposé, qu’il n’a pas été endommagé ou détruit pendant le transport et qu’il est convenable pour la juridiction dans laquelle il est livré.  
  3. Vérifier la séparation appropriée pendant l’entreposage. Il y a beaucoup à dire sur la séparation des marchandises dangereuses pendant le transport, mais il est essentiel de s’en souvenir également pour l’entreposage. Il est essentiel de veiller à ce que les marchandises dangereuses soient entreposées correctement en cas de fuite et d’interaction négative entre les marchandises dangereuses. 
  4. Vérifier les quantités maximales autorisées de l’entrepôt. Garder une trace de l’inventaire actuel pour éviter le souci de ne pas respecter la capacité maximale d’un type de marchandises dangereuses dans l’installation d’entreposage. Divers facteurs liés au bâtiment, tels que le système d’extinction des incendies, la qualité de la construction (y compris la séparation coupe-feu et le câblage électrique à sécurité intrinsèque), l’éclairage et la ventilation jouent un rôle important dans la capacité maximale autorisée. 
  5. Vérifier les codes locaux de prévention des incendies et du bâtiment. Vérifier si l’installation a été évaluée et classée pour contenir une certaine quantité. Veiller à respecter les limites de installation en matière de quantité.     

Dans de nombreux cas, au cours de mes années de conduite dans le monde des marchandises dangereuses, les destinataires proposent souvent de revendre ou de réexpédier les marchandises à d’autres personnes. Il est donc extrêmement important de vérifier le travail et de ne pas supposer que ce que vous avez reçu est correct lorsque vous recevez des marchandises dangereuses. Il est toujours important d’assurer une diligence raisonnable sur votre lieu de travail afin d’éviter tout problème catastrophique ou juridique avec les inspecteurs. Si vous avez besoin d’un audit d’entrepôt, le Centre de Conformité ICC est là pour vous aider. Communiquez avec nous dès aujourd’hui au 877-756-3718 (États-Unis) ou au 888-977-4834 (Canada).

Pour rester à jour, abonnez-vous à notre bulletin d’information!

Nous disposons de tous les produits, de tous les services et de toutes les formations dont vous avez besoin pour que votre personnel soit correctement formé et informé.


UN Packaging

Custom or Stock Labels

Forms
Elton Woodfine

Elton Woodfine CD (Canadian Decoration) served 22 years as a member of the Canadian Forces. Initially as an Infantry section Commander in the Princess Patricia Canadian Lite Infantry (PPCLI), he served on two peace keeping missions in the former Yugoslavia, and one combat tour in Afghanistan where his unit was awarded the Governor General Unit Citation for actions in combat. He then continued to serve as a member of the Royal Canadian Air Force as a firefighter, where he completed a diploma in Fire Science/ Fire-fighting from Memorial University and Occupational Health and Safety diploma from the University of New Brunswick. Lastly, in his career with the Canadian Forces, he served as a member of the Joint Incident Response Unit (CJIRU) as a Chemical, Biological, Radiological and Nuclear Operator (CBRN Op), part of the Canadian Special Operation Command (CANSOFCOM). Upon his retirement from the Canadian Forces, he took a position as a Life Cycle Management of hazardous materials instructor for the logistical branch of the Department of National Defense and is knowledgeable in NFCC, CEPA 1999, IMHWR, TDGR, ICAO, IATA, IMDG, GHS and OH&S federal regulations.